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Deblock est une néobanque qui, après une levée de 12 millions d'euros, présente le tout premier compte bancaire qui accepte aussi le dépôt et le retrait de cryptomonnaies.

Concrètement, Deblock met à disposition de ses utilisateurs un compte bancaire avec un IBAN français, des cartes de paiement pour les transactions quotidiennes, des virements instantanés ainsi que la liberté de déposer, retirer, convertir, les cryptomonnaies en euros et vice versa, sans contraintes ni limites. Une solution complète permettant aux utilisateurs de gérer leurs finances de manière autonome, sécurisée et transparente.

Avec Deblock, il est possible de payer un café, recevoir son salaire, acheter une voiture, faire un virement en un clic, régler son loyer, le tout en cryptos ou en euros.

La véritable innovation de Deblock réside dans son portefeuille auto-géré : une solution technologique qui garantit un contrôle absolu sur son argent. Contrairement aux autres banques, personne, pas même Deblock, n'a accès au portefeuille. Les actifs numériques des utilisateurs sont ainsi protégés, et ce même si Deblock disparaît.

L'aventure de Deblock est née de la rencontre de quatre anciens du monde de la fintech : Jean Meyer, directeur général Crypto chez Revolut, Adriana Restrepo, directrice générale des opérations chez Revolut, Aaron Beck, directeur général des paiements chez Revolut et Mario Eguiluz, directeur de l'ingénierie chez Ledger.

L'entreprise compte aujourd'hui 35 collaborateurs, dont Claire Balva au poste de VP Stratégie. Claire dispose de 8 ans d'expérience dans la crypto en France, comme entrepreneure puis directrice chez KPMG.

Opérations, produit, tech et légal, l'équipe chevronnée de Deblock a permis de monter en un temps record un projet engagé désormais agréé par la Banque de France et enregistré auprès de l'AMF (Autorité des Marchés Financiers). Une première en France !

Afin d'assurer son déploiement, Deblock a levé 12 millions d'euros et se positionne désormais comme un acteur majeur dans le secteur de la fintech.

Autour de la table on retrouve Hoxton Ventures, Headline, 20VC et Motier Ventures mais aussi des business angels de qualité dont Thomas France (fondateur de Ledger), Jonathan Levin (fondateur de Chainalysis) et The Chainsmokers (artistes electro américain).